Docteur ou doctoresse
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J’attendais patiemment dans la salle d’attente. Mon tour allait enfin venir, j’étais le dernier avant la fermeture du cabinet. Je vis la charmante demoiselle qui me précédait passer le seuil de la porte. Elle se retourna et serra la main du médecin puis quitta la pièce. Je me levais et saluais à mon tour la femme en blouse.
Elle me dit bonjour et je lui réponds « Bonjour docteur. Tiens ! Mais à une femme médecin peut-on dire bonjour doctoresse ? » demandai-je d’un ton très gentiment taquin. Elle ria sans excès et répliqua : « je trouve le mot doctoresse un peu étrange même si l’on peut l’utiliser ». J’acquiesçai dans un sourire et d’un petit mouvement de tête approbateur.
Le bureau était sobre mais décoré avec goût. Elle m’offrit de m’asseoir et nous entrâmes rapidement dans le vif du sujet. « Que puis-je faire pour vous ? » me demanda-t-elle d’une voie calme et douce. « Je crois que je me suis fait un vilain tour de rein en aidant un ami à déménager ». Elle se leva et se dirigea vers moi. « Je vais regarder ça » dit-elle tout en s’approchant.
Sa blouse blanche déboutonnée sur le haut laissait deviner un corps magnifique. Au moment où elle se leva et avant qu’elle ne passe derrière moi pour m’ausculter, j’eus l’opportunité de m’offrir un petit plongeon de l’oeil dans son décolleté. Il laissait passer discrètement un petit débord de dentelle rouge où mon regard fut par réflexe.
Je dus retirer le haut. Je sentais ses mains fraîches parcourir mon dos à la recherche de l’endroit douloureux. Et soudain ! « Outch ! » fis-je. Elle pausa. « Bon ! » lança-t-elle, « rien de grave, votre L5 est légèrement déplacée je vais vous la remettre en place de suite, cela ce ne sera pas long ».
Je me souvenais avoir lu au dehors « médecin généraliste et kinésithérapeute diplômé d’État » sur les plaques dorées. Je suis entre de bonnes mains pensais-je subrepticement. Elle m’allongea sur le dos et après deux manipulations vigoureuses mais parfaitement maîtrisées, la charmante praticienne me libéra miraculeusement de la douleur.
« Ah ! Incroyable ! Comment vous remerciez ? », Demandais-je d’un ton enjoué et soulagé ! « Déjà en payant mes honoraires », répondit-elle avec entrain. Je relançais directement : « ah bon, mais pourquoi dire ‘déjà’, pourrais-je faire plus ? » Elle se tut un instant me regardant fixement, puis elle dit d’un air des plus naturels : « Hé bien maintenant que vous voilà sur pied, vous pourriez en profiter pour me faire le prendre le mien. »
J’étais assis, là, devant elle, et j’étais sur le cul d’entendre ça. Le cabinet était vide, nous avions champ libre. Elle se leva et ferma la porte à clé pour m’indiquer le début des festivités. Elle déboutonna sa blouse d’une main précise et se plaça devant moi en écartant légèrement les jambes. Je tendais lentement un bras pour atteindre ses cuisses de ma main.
Mes doigts glissèrent sous sa jupe en remontant jusqu’à son entrejambes. Pas de culotte ! J’allais de surprises en surprises. Elle recula pour s’asseoir sur son bureau et commença à relever lentement le tissu. Elle écarta les jambes pour me dévoiler sa jolie vulve de femme mûre. Le spectacle valait son pesant d’or. De l’index, elle me fit signe d’approcher.
Lorsque je fus assez près d’elle, elle posa ses mains sur le haut de ma tête et m’attira vers son sexe. Sans lutter, je me laisser guider. Ma bouche se posa sur ses lèvres encore fermées. Au moment où ma langue toucha sa peau, elle prit une profonde aspiration. Je fermai les yeux et commençais à passer délicatement ma langue sur son petit volcan d’amour.
Progressivement, je devins plus pressant sur son petit bouton qui ne cessait de grossir et durcir au fur et à mesure de mes caresses buccales. Elle serrait de plus en plus ma tête contre-elle, me forçant presque à la lécher. Puis sans que je m’y attende, elle me lâcha et se laissa aller en arrière pour s’allonger et releva les jambes au ciel. Elle m’offrait sans retenue toute son intimité.
Quand je me mis à genoux pour m’adapter à sa nouvelle posture, je sentais que son orgasme était très proche. Bingo ! Le voilà ! D’un moment à l’autre elle se mit à tressaillir, à gémir, à haleter, et à me tirer par les cheveux. Elle venait de jouir avec force, longtemps, un vrai bonheur à voir et à entendre.
Lorsqu’elle revint à elle, toujours sur le dos, elle rabaissa sa jupe d’un geste détendu. J’étais assis à nouveau et je la regardais sans dire un mot. Elle se releva, s’approcha de moi, m’offrit un baiser doux.
« Docteur ou doctoresse, je n’ai pas choisi, mais en tout cas, aujourd’hui l’expert c’est toi » !
En quittant, il me semble avoir dit « merci encore Docteur ! ».
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