Dans la bouche de la femme de mon patron
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Paris 8ème, dans une grosse boîte de pub. Le patron de la société était un requin de la pire espèce. Marié et coureur de jupons, ce n’était vraiment pas un cadeau pour sa femme. Nathan bossait pour lui depuis peu. 23 ans, tout droit sorti de l’université, huit heures par jour avec un connard pareil sur le dos, il pensait déjà à démissionner. Tous les vendredis, la femme de son boss passait pour déjeuner avec son con de mari. C’était une femme magnifique. A sa vue, les envies de partir de Nathan disparaissaient en un clin d’œil.
Il faut dire qu’il y avait de quoi : c’était une belle brune au visage parfait, avec un corps de rêve et une chute de reins à faire damner un saint. Elle était un véritable régale pour les yeux. Et pourtant, son mari manifestait à son égard une grande indifférence. Nathan, quant à lui, sentait carrément exploser son slip quand il croisait le chemin de cette bombe sexuelle.
Elle avait tout ce qu’il faut où il faut : des seins qui semblaient avoir un galbe parfait et des fesses fermes et rebondies qui transparaissaient de son pantalon moulant. Nathan ne savait plus où donner de la tête quand elle passait devant son bureau avec ses yeux rieurs et son sourire enjôleur.
Comme d’habitude, elle attendait gentiment que son mari sorte de rendez-vous. Nathan, qui la matait depuis déjà quelques minutes se décida à lui parler. « Bonjour madame, je peux vous apporter quelque chose à boire ? », « Bonjour, oui, merci beaucoup. » Il lui amena alors un jus d’orange et lui tint compagnie.
Au même moment le patron sortit de son bureau et s’exclama « Chérie, je suis désolé mais je dois annuler notre déjeuner. Nathan, peux-tu raccompagner ma femme s’il te plait ? ». Il n’a pas eu à le dire deux fois ! Nathan se fit un immense plaisir d’accompagner l’objet de ses fantasmes. Étant conscient que l’occasion ne se présenterait peut être plus, il prit son courage à deux mains et invita la femme de son boss à manger. Agacée par le fait de se retrouver à nouveau seule, elle accepta volontiers.
Durant le déjeuner, les deux acolytes firent davantage connaissance. Nathan se rendit très vite compte que la femme de son patron en avait plus qu’assez d’être à ce point délaissée et qu’elle était en quête d’aventure et de nouveauté. Elle n’hésita pas à faire comprendre ouvertement à Nathan qu’elle avait prit l’habitude d’avoir elle aussi, des aventures extraconjugales. Il fallait bien satisfaire des envies aussi naturelles que légitimes…
Nathan comprit qu’il avait une carte à jouer. Il lui proposa de venir prendre un verre chez lui en guise de digestif. Il habitait un petit studio non loin du restaurant et de son lieu de travail. Tant pis pour le boulot, s’il avait du retard son alibi était déjà tout trouvé… A sa grande satisfaction elle accepta son invitation. Elle se leva d’un seul coup de sa chaise et se mit en chemin. Nathan fit de même. Il régla l’addition et quitta le restaurant en compagnie de la femme qui devait certainement avoir l’âge de sa mère.
Ils ne mirent pas longtemps à arriver à destination. Nathan était à peine entré qu’il se fit pousser sur son lit par la femme qui entreprit de le déshabiller. Il était tellement surpris et intimidé qu’il se laissa faire sans mot dire. Elle était rapide et s’y prenait bien.
Elle commença par l’embrasser à pleine bouche. Elle descendit ensuite en lui léchant le torse et en s’attardant sur ses tétons. Elle arriva alors au niveau de son sexe et lui enleva son boxer avec les dents. Le pénis du jeune homme était en érection depuis fort longtemps. La coquine s’humecta les lèvres avec gourmandise. Lentement, elle prit le phallus dressé dans sa bouche. Elle se mit à aspirer de toutes ses forces, comme pour en faire sortir tout le jus.
Elle s’occupa également des bourses de Nathan qui étaient chaudes et volumineuses. Chacun de ses coups de langue procuraient des spasmes de plaisir au jeune homme qui soupirait à fendre l’âme. Nathan la saisit ensuite par la taille et l’a fit s’asseoir sur son chibre tendu.
La femme se déchaîna sur lui comme une chienne. « Encule-moi » lui dit elle… Nathan s’exécuta. Il sortit de son vagin humide pour venir la prendre par derrière. Il lui écarta ses jolies petites fesses serrées et enfonça son gland dans son anus. Ce début de sodomie lui procura des sensations encore jamais ressenties. Voyant qu’elle prenait son pied, il décida de lui baiser le cul jusqu’à la garde. Il devenait de plus en plus bestial et cela ne semblait poser aucun problème à son amante qui hurlait de plaisir.
Elle sentit que le jeune homme allait jouir. Elle se retira et se mit à ses genoux en ouvrant grand la bouche. Nathan comprit ce qu’elle voulait. Il se finissa à la main et déchargea à grands jets au fond de la gorge de la femme qui ne pouvait tout contenir. Le sperme dégoulinait alors des commissures de ses lèvres pour finir sur sa poitrine gonflée…
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