Une vacancière mature à baiser
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Depuis que j’ai hérité d’une somme coquette d’une vieille tante qui m’avait pris en affection, je vis de mes rentes, comme on dit. N’ayant pas vraiment besoin de travailler, j’essaie de renouer avec une de mes anciennes passions : l’écriture. J’ai publié à compte d’auteur deux nouvelles, qui ont reçu un accueil mitigé auprès de la presse très spécialisée.
Je me suis lancé depuis quelques semaines sur l’écriture d’un roman. Manquant cruellement d’inspiration, je suis parti passer quelques temps sur l’île d’Oléron, à la recherche, non pas du temps perdu, mais d’une ambiance propice à la méditation.
En ce début Septembre, et malgré la chaleur persistante, l’afflux touristique est passé, et les rares estivants qui s’attardent ne contribuent pas vraiment à animer l’île. Dans la pension de famille où je loge, il ne subsiste que deux couples de retraités. Et, dans l’ensemble, à part les locaux, la population est assez âgée. Au rythme des repas très riches servis dans la pension, je sens que je commence à m’empâter, et je décide, le soir venu, d’aller courir le long de la plage, pour perdre ces quelques kilos superflus.
C’est pendant un de mes footings, que je l’ai remarquée, allongée sur un transat, en maillot deux pièces, devant un mobile-home. Elle devait flirter avec la cinquantaine, mais était encore relativement bien conservée, avec un peu de rondeurs. Je l’ai remarquée pour deux raisons : d’abord, parce que les femmes seules ne couraient pas l’île en cette fin de saison, ensuite car elle me regardait passer devant elle, comme une vache regarde passer le train. J’aurais presque vu la bave couler entre ses lèvres entrouvertes pendant qu’elle me matait, sans aucune discrétion.
Je décide que mon abstinence sexuelle a assez duré et mets en place pour le soir même un plan destiné à séduire cette vacancière esseulée. Je pars donc pour mon parcours quotidien, et quand j’arrive au niveau de son terrain, après m’être assuré qu’elle était bien présente, je fais mine de trébucher, et tombe lourdement presque devant elle. Je m’assieds, me prends la cheville à deux mains, en grimaçant de douleur, feignant une entorse. Je suis vêtu d’un simple short, et d’une chemise. Elle se lève rapidement et se précipite vers moi pour voir si je me suis fait mal, ce qui est un peu la réaction que je prévoyais. Manque de chance, elle ne parle pas français, et me déverse un flot de paroles que je crois bien être du hollandais, patois que je ne manie absolument pas… Mais bon, pour ce que j’ai à faire d’elle, elle pourrait être lituanienne que ça m’irait quand même !
Je lui montre ma cheville, lui faisant comprendre le siège de ma douleur. Elle la prend entre ses mains et débute un massage léger, destiné à me soulager. Ses doigts glissent du dos de mon pied et remontent le long de ma jambe, pour revenir vers le pied. Je lui souris, démontrant ainsi que j’apprécie la caresse, et l’invite à continuer. Ses mains remontent de plus en plus haut, arrivant vers la cuisse, des fois que l’entorse se propage.
Je bande doucement, ce qu’elle ne peut manquer de remarquer. C’est avant qu’elle n’arrive sous mon short, que je l’arrête, car nous somme quand même au milieu du chemin.
Elle m’aide à me relever, et m’emmène dans sa maison mobile. Je fais semblant de boiter, pour rester crédible. Pour respecter les convenances, elle reprend son massage, et ses mains reprennent vite le chemin de mon short. Si sa caresse ne résout pas ma pseudo entorse, par contre elle a nettement accentué mon érection. Je m’extirpe avec difficultés de mon short, pour lui présenter ma queue dressée, tendue et très dure.
Elle la saisit à pleine main, et me masturbe vigoureusement. Lui prenant la tête par le cou, je la lui approche de ses lèvres pour lui enfoncer jusqu’à la gorge. Sa main et sa bouche s’activaient ensemble, je pousse un grognement de plaisir. Je passe mes doigts sous le haut de son maillot, libérant sa poitrine. Ses seins sont de belle taille, ce qui m’incite à lui retirer ma bite de sa bouche pour une branlette espagnole. Bien lubrifiée, elle glisse entre ses mamelles admirablement.
Je la pousse pour qu’elle s’allonge, lui écarte suffisamment sa culotte, et m’enfonce en elle jusqu’aux couilles. Mes coups de bites puissants la font trembler. Ses ondes de plaisir électrisent tout son corps et elle jouit dans des spasmes profonds. Me retirant prestement, j’éjacule sur son ventre libérant une grand quantité de sperme. Quand je la quitte enfin, les couilles vides, je lui fais comprendre que je reviendrai. Et ainsi tous les soirs, je suis revenu pour la baiser…
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