Une femme mure en guise de dessert
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Un ami un peu lourdingue m’avait invité au restaurant pour me régler une petite dette qu’il me devait. Une fondue bourguignonne me contenterait largement. Massimo, c’était son prénom, avait constamment la bouche ouverte. Au bout d’un moment, je n’écoutais même plus ! Mais bon, nous avions fait du foot ensemble et, dans l’immédiat, je ne me voyait pas l’envoyer systématiquement sur les roses quand il m’appelait. Soudain, je le sentis moins concerné par notre discussion, qui ressemblait en réalité davantage à un monologue de sa part. Il semblait distrait par quelque chose. Et comme il n’avait aucune discrétion, je compris qu’il fixait des yeux une cliente installé à une table voisine. Elle avait visiblement un certain âge et je ne voyais pas, a priori, ce qu’il pouvait lui trouver. Mais il fallait dire que Massimo était loin d’être un canon. Il n’était pas très grand et plutôt grassouillet, et ses yeux clairs semblaient sortir de leurs orbites. Néanmoins, ce qui me paraissait le pire chez lui, c’était son flot de paroles incessant. Heureusement, j’avais droit à une pause grâce à la femme de la table voisine, ce qui me permettait d’apprécier ma fondue bourguignonne.
Au bout d’un moment, j’eus le désir de regarder à nouveau cette dame dont Massimo pouvait déjà être considéré comme le prétendant. Je me rends compte qu’elle n’était pas seule à sa table. Elle accompagnait un vieillard qui ne devait plus avoir toute sa tête. Je crois que ce qui devait modérer mon enthousiasme, c’était surtout le fait que j’étais le plus jeune des protagonistes, avec mes vingt-cinq ans. Massimo avait facilement dix ans de plus que moi – je ne connaissais pas son âge exact et ne voulais pas le savoir ‘ et cette femme devait avoir encore plus que lui. Mais en l’observant, je me disais qu’elle avait dû être belle par le passé, et aussi qu’elle avait encore un corps qui semblait désirable. Mais je me calmai rapidement. C’était le plan de Massimo de toute manière.
Au moment du café, la cible de Massimo et le vieux vinrent s’asseoir à notre table. Anabela (vous connaissez son prénom désormais) avait bien vu le petit manège de Massimo et voulait visiblement un peu de distraction. Elle nous fit comprendre qu’elle vivait avec ce type plein aux as et que ça l’arrangeait bien, qu’elle allait le mettre au lit puis nous rejoindre au bar d’à côté. J’étais prêt à déserter pour laisser le champ libre à Massimo. Pour une raison que je n’ai toujours pas comprise, il refusa que je le quitte. Peut-être craignait-il que cela fasse louche. Je l’accompagnai ainsi au bar tout en lui faisant un peu de morale. « Et ta femme, hein ‘ » Il me répondit laconiquement qu’il se contenterait d’une petite pipe dans une ruelle. Je ne fis pas plus de commentaire mais la suite ne se déroula ni comme il l’avait imaginé, ni comme je ne l’avais moi-même imaginé. Au bout d’un moment au bar, tous les trois, Anabela prit un prétexte douteux pour sortir en ma compagnie.
Elle me révéla que Massimo la soûlait au plus haut point et qu’elle me trouvait bien plus charmant et sympathique. Ayant comme une révélation, je me mis alors à l’observer de plus près. Rien que le fait qu’elle soit Brésilienne me paraissait intéressant. Je ne m’étais jamais tapé une femme mature aussi âgée et me disais qu’au fond cela pourrait être une expérience intéressante. Elle me demanda si j’habitais le quartier (affirmatif !) et me proposa de nous y retrouver après avoir fait semblant de nous séparer et dit au revoir à Massimo (le pauvre n’avait rien vu venir).
Habitant à proximité de l’Université de ma ville, j’ai souvent ramené des petites minettes à qui il fallait tout montrer et tout apprendre. Mon art du cunnilingus était alors souvent décisif pour décoincer la jouvencelle. Vous imaginez ma surprise quand cette tigresse mature se jeta sur moi à peine la porte refermée ! L’inversion des rôles était tout sauf désagréable, surtout que je n’étais pas dans une forme olympique. Elle glissa sa main vers mon entrejambe et me félicita pour la taille de mon engin qui se trouva rapidement dans un état d’érection maximal.
Elle me plaqua alors contre le mur, sans même faire le tour du propriétaire, et extrait mon phallus de sa cachette. Après quelques coups de langue sur le gland, elle glissa la matraque dans sa bouche par petits mouvements, allant toujours plus profondément. Elle me traîna ensuite sur mon lit, où je m’allongeai, et se posta au-dessus de moi, continuant sa fellation et réussissant à tout enfiler dans son gosier. On voyait qu’elle en avait avalé dans sa vie ! Et sûrement des plus grosses que la mienne.
D’abord attentiste, je me mis à caresser ses cuisses, sa jupe noire étant presque totalement relevée et révélant des jambes n’ayant rien à envier à celle d’une belle jeune femme. Il me fallait à présent évaluer l’intérêt de sa poitrine qui se trouvait à portée de main. J’eus une agréable surprise en tâtant ces mamelles douces et à la taille plutôt généreuse. Visiblement, mon amante expérimentée voulait passer à autre chose : « Tu es doux, c’est agréable, mais maintenant il va falloir que tu te montres dur ! » Estimant que mon sexe était prêt à faire son office, elle releva sa jupe au-dessus de son cul en se positionnant à quatre pattes.
Cette vieille cochonne m’expliqua que c’était lorsqu’on la prenait violemment par derrière qu’elle avait les meilleurs orgasmes. Je me mis donc à la baiser ainsi, respectant ses instructions à la lettre. Normal après tout, c’était mon aînée ! Elle me dit rapidement de me tenir au-dessus d’elle, mais j’y allais avec générosité et ses bras frêle de quarantenaire (désolé si tu avais trente-neuf ans, Anabela !) ne pouvaient pas tenir longtemps. Elle s’écroula alors sur le ventre mais ne me laissa pas le temps de réfléchir. « Encule-moi ! Encule-moi ! » Contrairement à ce que l’on m’avait toujours recommandé, je ne pris alors pas le temps de changer de capote et la perforai directement par le trou de balle. Elle avait tellement mouillé de l’autre orifice que son claque-merde était lubrifié et mon engin entra comme dans du beurre dans sa porte de derrière. Je la massacrai ainsi un bon moment, craignant toutefois qu’elle ne réveille mes voisins avec ses cris de vieille salope en chaleur, et finis par lâcher ma sauce en ayant une pensée pour le pauvre Massimo qui avait vraiment tout raté !
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