Une japonaise très sexy

Les plaisirs défendus du pays du soleil levant

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Comme voyage d’affaires, il y a bien pire qu’Edinburgh, petite Londres écossaise. J’espérais simplement qu’après les rendez-vous, j’aurais le temps d’aller boire quelques whiskies. Je pouvais aussi visiter le magnifique centre-ville si on m’en laissait le temps.Finalement, durant les trois premiers jours, j’eus le temps de faire quelques visites un après-midi, mais c’était tout.

Heureusement, mes interlocuteurs étaient très sympathiques. C’étaient les fondateurs d’une start-up dont tous les membres ‘ des patrons aux simples secrétaires ‘ étaient jeunes. Le dernier soir, l’un des boss, un Italien nommé Gianni, me demanda si j’avais eu l’opportunité de profiter de la vie nocturne d’Edinburgh. Je lui répondis que non, à mon grand regret. Choqué, il me dit qu’il était hors de question que je rentre sans avoir fait la tournée de ses pubs préférés. Il me donna rendez-vous quelques heures plus tard aux pieds du fameux château d’Edinburgh pour une nuit de folie. J’espérais que ce n’étaient pas des paroles en l’air.

La soirée commença calmement. Nous nous rendîmes dans un grand pub fort animé dans lequel il y avait beaucoup de touristes et où on ne s’entendait pas. Mais Gianni savait ce qu’il faisait et nous entraîna vers une table un peu à l’écart. Là, nous pouvions discuter et commencer à boire des bonnes bières. Le natif de Bari n’était bien sûr pas venu seul, mais c’était surtout sa secrétaire japonaise qui m’intéressait. Elle devait avoir à peine la vingtaine et me faisait un effet dingue avec son regard angélique. J’essayais de ne pas rester fixé sur son minois, néanmoins, car même si nous étions de sortie, il valait mieux que je fasse bonne figure devant ceux qui restaient des partenaires commerciaux.

Les bonnes résolutions, vous savez ce que c’est ! Après plusieurs pubs, j’étais méchamment parti et complètement désinhibé. Du coup, je ne cessais de discuter avec la secrétaire japonaise qui était timide mais semblait ravie d’avoir à qui parler. Elle me raconta son parcours, comment elle avait quitté Tokyo pour apprendre l’anglais dans le but de trouver de très bonnes places quand elle rentrerait au pays avec un excellent niveau. Je ne sais pas si vous savez comment sont les Japonaises ‘ Elles semblent super timides mais une fois que c’est parti’ Le déclic survint alors que Gianni et ses troupes décidèrent une énième fois de changer d’établissement. Ils sortirent du pub comme des voleurs alors que ma dulcinée était encore aux toilettes. Quand elle sortit, il n’y avait que moi pour l’attendre et lui indiquer qu’il fallait rattraper nos compagnons de sortie. « Quick, quick ! » Je lui pris la main et elle s’accrocha sans mot dire. Comme nous marchions derrière les autres, nous continuâmes à jouer aux romantiques jusqu’au bar où nous attendaient Gianni and Co.

A nouveau assis à une table, je me contentai de caresser la cuisse de notre amie en espérant que personne ne me voie. J’eus l’impression que ça gênait la demoiselle, c’est du moins ce que je pus comprendre malgré mon état d’ébriété avancé. Je cessai momentanément mais lorsqu’elle se proposa pour aller chercher des bières (eh oui, c’était du self service), je me levai pour l’aider. Il y avait une forte queue et j’en profitai pour la fixer. Nous étions hors de vue de notre table, ce qui détendit ma promise. Elle me fixa en souriant, avec ses beaux yeux en amande et je l’embrassai sans me poser de questions. J’étais aux anges.

Nous fîmes de nouveau les innocents une fois de retour à table et je dis ensuite qu’il était temps d’aller me coucher si je ne voulais pas avoir de la peine le lendemain pour avoir mon avion, d’autant plus que j’étais sûr que j’allais avoir la gueule de bois. Par chance, l’employée modèle voulait aussi regagner ses pénates et se rendait dans la même direction que moi. Aujourd’hui encore, je ne sais pas si nos compagnons de sortie se doutèrent de quelque chose mais pour tout vous dire, je m’en fiche un peu car, à ma connaissance, ça n’a porté aucun préjudice au business de mon patron.

Elle me dit au revoir une fois arrivée devant chez elle, mais je n’avais pas très envie de la quitter. De son côté, elle ne semblait pas non plus pressée que je m’en aille. Elle me raconta qu’elle avait un copain à Glasgow qu’elle voyait un week-end sur deux. Était-ce pour calmer mes ardeurs ‘ Si oui, ça ne fonctionna pas. Je me mis à l’embrasser férocement et à lui caresser les fesses sans me soucier d’éventuels voyeurs nocturnes. Ce traitement fit son effet car elle m’invita à monter chez elle. Je ne lui demandai même pas de boire un verre et lui fourrai immédiatement mes doigts dans la chatte avant de lui ôter son pantalon et sa culotte, tel un sauvage. Ma main droite m’indiquait qu’elle mouillait déjà comme une chienne, mais je voulais connaître le goût de cette cyprine japonaise.

Je la fis donc s’asseoir sur le lit et lui écartai les cuisses avant de glisser ma langue dans son entrejambe soigneusement épilé. C’était un délice et je m’attardai longtemps dans cette position, ce qui rendit la jeune Japonaise complètement folle de désir. Elle me dit soudain me relever dans le but évidemment de me rendre la pareille. Pas de problème, mon chibre était déjà prêt à l’emploi et elle le glissa déjà bien dur dans sa petite bouche de vicieuse. Je lui donnai quelques coups de sexe bien au fond de la gorge avant de la pénétrer par devant. J’aimais la dominer ainsi mais n’était pas totalement satisfait. Je voulais voir son cul, il me fallait la baiser en levrette. Elle ne protesta pas quand je la saisis pour la retourner sur le pieu.

De toute façon, elle s’était mise à pousser des petits cris nippons que je ne comprenais évidemment pas. La suite est très floue’ Je me souviens avoir pris un taxi pour l’aéroport avec un certain mal de tête. Ça c’était le lendemain. Je me souviens l’avoir défoncé sans retenue en m’accrochant à son cul. Peut-être n’étais-je pas si performant que ça car l’alcool peut enjoliver les choses. Mais je sais que ma Japonaise était magnifique puisque je la convoitais déjà sobre. Je me souviens de lui avoir bien bourré la chatte par derrière avant de m’extraire de son orifice, de me présenter à genoux devant cette minette encore à quatre pattes et de lui lâcher ma sauce sur son joli visage tout en la tenant par les cheveux. C’est beau l’Écosse avec une touche orientale.

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Amoureuse de littérature érotique et croqueuse d’hommes invétérée, Angélique vous offre ses talents d’écriture et ses récits toujours emprunts de sensualité.