Une colocataire adepte du sexe anal
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J’avais d’abord été scandalisé lorsqu’on m’avait muté à Londres en me mettant devant le fait accompli. Je parlais anglais comme une vache espagnole et préférais les températures estivales à la grisaille londonienne à laquelle je m’attendais. Et puis j’avais fini par me calmer et peser le pour et le contre. De toute façon, c’était ça ou la porte. Comme j’étais célibataire et sans enfants, me déplacer n’était pas un gros problème. L’anglais, j’allais l’apprendre, et comme mon salaire restait correct, je m’achèterai des vêtements chauds. Mon employeur s’était même chargé de mon logement. Le prix du loyer était d’ailleurs bien bas (pour le centre de la capitale britannique), mais il y avait une couille : Je n’étais pas seul dans l’appartement. Je priais pour que mon coloc soit quelqu’un de sympathique et d’ordonné.
Je ne sais pas pourquoi mais je n’avais pas posé la moindre question à mon employeur sur l’identité de mon coloc. Du coup, j’imaginais en quelque sorte mon clone, c’est à dire un jeune homme à la fois élégant et décontracté. J’arrivai à Londres un beau matin d’octobre et trouvai rapidement l’appartement. Le quartier semblait calme, c’était déjà ça. Quelle ne fut pas ma surprise en voyant une demoiselle m’ouvrir la porte. Elle n’était pas très grande et levai la tête pour me dévisager. Elle avait de longs cheveux noirs ondulés, de charmantes boucles d’oreilles rondes et bleues comme ses yeux, un chemisier noir qui mettait sa peau plutôt claire en valeur. Et je ne vous parle pas du sourire qu’elle me fit’
Troublé, je balbutiai quelques banalités pour m’assurer qu’elle était bien ma coloc. Elle me répondit presque en riant, ce qui ne me vexa en rien, tant j’étais ravi. Je tâchai toutefois de dissimuler ma joie béate et ma timidité reprit vite le dessus. Tandis qu’elle me faisait visiter l’appartement, je fixai avec désir son fessier qui semblait ferme à souhait, ainsi que sa poitrine également intéressante. C’était un vrai petit canon que j’avais là. Elle s’appelait Ainara et était basque, de Bilbao. On l’avait déplacée, tout comme moi. Je me rendis vite compte qu’elle parlait un français de très bon niveau. Ça n’allait pas m’aider à perfectionner mon anglais mais pour ça, je comptais sur le boulot.
Quand je racontai ça à mes copains restés au pays, inutile de vous dire qu’ils me dirent de foncer. C’est toujours plus facile à dire de l’extérieur. Je craignais que le fait de me montrer trop entreprenant rende la situation invivable en cas d’échec. Je décidai de me montrer patient et je pense que j’ai eu raison. Les premiers jours, je restais tranquillement dans mon coin. La cohabitation se déroulait très bien, du moins de mon point de vue. Ainara était une perle, très gentille et toujours souriante (et ce cul, mon Dieu !). En fait, j’attendis bêtement qu’elle fasse le premier pas et cela porta ses fruits. Un soir, alors que je regardais la télévision, elle vint s’asseoir contre moi et me demanda ‘ toujours avec son très grand sourire ‘ si ça ne me dérangeait pas. Inutile de vous dire que ma réponse fut un grand oui. Pendant le film, elle me prit dans ses bras et je passai le mien sur son épaule.
A la fin, elle me fixa avec une telle intensité que je sus que je ne courrais aucun risque en l’embrassant, ce que je fis fort tendrement. Ce soir-là, chacun rentra dans sa chambre en sachant bien qu’on aurait pu aller plus loin.
Le lendemain matin, pendant que nous prenions notre café, elle me réclama un nouveau baiser et cette fois-ci, j’en profitai pour la toucher un peu. Oh, rien de très hot encore, mais cela me permit de m’assurer qu’elle avait les fesses bien fermes, comme je l’avais imaginé en l’observant avec soin. Je l’avais même surprise en petite tenue, avec un joli string couleur pourpre qui m’avait confirmé que son cul était super agréable à l’oeil. Ensuite, il était temps d’aller travailler, malheureusement. Vous l’aurez compris, nous bossions pour la même entreprise mais dans des buildings assez éloignés l’un de l’autre. Je pensai à elle toute la journée et le moment des retrouvailles fut particulièrement chaud.
Sans mot dire, nous passâmes à l’action. Je la poussai jusqu’à la table de la cuisine. Elle s’assit dessus et me dégrafa ma chemise. Heureusement, j’avais fait un peu de sport avant de rallier l’Angleterre et pouvais faire bonne figure en compagnie de cette si jolie femme. Je lui caressai les épaules et les seins tandis qu’elle me baissait le pantalon et me touchait fermement les bijoux de famille par-dessus mon caleçon. Quand elle prit carrément mon sexe en main, j’eus immédiatement un plaisir fou, surtout qu’elle s’était mise à m’embrasse le torse et le cou en même temps, et j’eus peur de la décevoir si j’éjaculais trop vite. Heureusement, elle relâcha son emprise et m’expliqua le menu qu’elle désirait, toujours dans un français parfait mais avec son accent excitant. Tout en articulant ces quelques mots, elle se retourna, se posta contre la table et me dit qu’elle voulait que je l’encule. J’étais étonné par cette franchise mais certain d’avoir bien compris.
Elle voulait une sodomie à sec et, en garçon poli, je tenais à exaucer ses volontés. Je m’attardai ainsi un moment sur ses fesses après avoir baissé son pantalon noir et moulant, écartai son string plutôt que l’ôter complètement, et la pris ainsi. Il me fallut toute ma vigueur pour pénétrer son petit trou du cul mais finit par entrer après quelques mouvement préparatoires. Je pus ainsi me coller à elle en faisant ma première pénétration totale de son cul. Elle poussa un cri rauque que j’interprétai comme du plaisir et me mit à la secouer ainsi contre la table. C’est à ce moment-là qu’elle commença à planter ses ongles dans notre pauvre meuble et bois et à me dire des cochonneries en espagnol (que je comprenais) puis dans une langue qui m’échappait et qui était à coup sûr du basque ! Que je comprenne ou non ces grossièretés et encouragements à lui bourrer le cul, j’étais totalement enthousiasmé par ces sons sortis de sa gorge qui semblaient être une prolongation de ma défonce anale. Quand enfin elle sembla dressée par le traitement que je lui avais imposé, je me retirai de son claque-merde pour me vider les couilles sur son joli petit cul. La suite de mon séjour à Londres fut un véritable enchantement, à l’image de cette première partie de baise pas comme les autres.
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