Une fille vierge à dépuceler
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Amélie venait de commencer les études de droit et transpirait l’ambition. Toujours impeccablement vêtue et lunettée, elle avait fière allure et suscitait l’admiration de ses camarades de classe. Malgré ses airs sévères et sérieux, elle était attirante, cette petite rouquine, avec sa taille fine et sa jeune poitrine de taille appréciable. Et puis, si l’on oubliait un instant la formation qu’elle suivait, la mater un moment pouvait nous mener par la pensée du côté de l’éternel fantasme des petites secrétaires coquines.
Malgré ce tableau flatteur, il y avait un petit bug dans tout cela. En effet, Amélie était encore vierge. Mais au fond, était-ce si surprenant ‘ Les jeunes mecs de son âge hésitaient à lui faire des avances et son air juvénile tenait à l’écart des prétendants plus âgés. Bien sûr, il n’y a rien de honteux à être encore pucelle à dix-huit ans, néanmoins cela pouvait surprendre quand on voyait le joli brin de fille duquel on parlait. Peut-être aurait-elle dû mettre plus d’entrain dans des tentatives de séduction, mais voilà, au fond elle était un peu coincée et avait besoin qu’on lui tende une perche. C’est ce qu’allait faire un assistant de sa faculté.
Alain n’était plus très jeune mais pas encore vieux, du moins pas assez pour être professeur de la fac, raison pour laquelle il continuait à faire des recherches dans le domaine du droit tout en donnant quelques cours en tant qu’assistant. La calvitie avait commencé à lui jouer des tours et il arborait des grosses lunettes guère sexy. Mis à part ces détails, il était de bonne taille et plutôt beau garçon, mais pas plus que des étudiants qui auraient pu apprendre les choses de la vie à Amélie s’ils avaient fait preuve de davantage d’initiative.
C’est d’abord les capacités intellectuelles d’Amélie qui avaient impressionné Alain (si si !) et il lui avait proposé de travailler avec lui pour ses travaux. Pendant deux mois, ils ne se virent qu’à l’université, puis, un peu fatigués par cette atmosphère peu conviviale, ils émigrèrent vers des cafés. Un jour, alors qu’ils buvaient chacun une panachée, sérieux qu’ils étaient, Alain se rendit compte qu’il avait oublié un article chez lui. Il habitait à côté, ce n’était pas un problème. Amélie lui proposa de l’accompagner et les choses se gâtèrent une fois qu’ils se retrouvèrent au domicile de l’assistant.
Dans son bureau exigu, ils ne pouvaient regarder correctement l’écran de son ordinateur, et l’étudiante en profita pour s’asseoir sur ses genoux, soit disant pour mieux lire. Il était inhumain de rester les bras croisés (ou la main sur la souris) pour Alain de rester inactif avec ce petit cul sur la cuisse, même si la demoiselle était sagement vêtue d’un jean et d’un pullover. Sa main se posa d’abord délicatement contre le ventre de la jeune femme puis remonta vers le haut. Elle se laissa faire tandis qu’il caressait sa poitrine jeune et ferme. Elle se tourna vers lui et, à sa grande satisfaction, arbora un regard mi-gêné mi-complice.
Docile, Amélie se laissa porter jusqu’au lit du jeune homme qui, dans son élan, la déshabilla entièrement. Il ne fut pas déçu par ce qu’il découvrit. Elle avait une joli sexe peu poilu, des seins aussi ravissants à la vue qu’au toucher, et elle s’offrait à lui, après lui avoir indiqué pour la forme qu’elle ne l’avait encore jamais fait. Alain ne fut pas surpris car la timidité d’Amélie était fort parlante. Il était au contraire flatté d’être le premier à se taper une telle beauté. Néanmoins, il était également conscient de ses responsabilités et prit son temps pour embrasser tendrement la jeune femme, caresser de même sa poitrine et parcourir longuement sa jeune chatte avant d’y enfiler ses doigts. Amélie semblait excitée mais encore bien loin de prendre les choses en main. Alain commença donc par la pénétrer en missionnaire, se disant qu’une position classique était la plus appropriée pour débuter, même si ce n’était pas ce qu’il préférait. Il prit soin de se mouvoir lentement et, voyant que tout se passait bien, il passa à la vitesse supérieure.
Le fait qu’Amélie restait encore statique aurait pu calmer les ardeurs de son premier amant, mais celui-ci était extrêmement stimulé à l’idée de se faire une vierge, surtout aussi jolie. Il se motiva en la caressant tant qu’il pouvait et en admirant son corps excitant avec sa peau douce et blanche. Très vite, il oublia ses premières intentions romantiques. Il se retira d’elle et la jeune femme se tourna, peut-être par timidité. Ni une ni deux, Alain en profita pour la prendre par derrière et se coucha sur elle, glissant une main le long de sa poitrine et caressant ses fesses de l’autre. Amélie ne broncha pas mais commença à laisser échapper des cris de plaisir. « Enfin ! » pensa Alain. Il accéléra la cadence sans pour autant sentir l’éjaculation approcher. Il décida de tenter la levrette et fit relever un peu son étudiante, qui s’exécuta une fois de plus avec une étonnante docilité.
La vue qu’il avait sur sa queue pénétrant celle qui était encore d’allure inaccessible quelques instants avant, avec son pullover et ses lunettes, le ragaillardit, de même que la chevelure de la demoiselle et son dos blanc qui devaient supporter ses coups de reins. Il la défonça si fort dans cette position que sa queue finit par s’échapper du vagin et Amélie, surprise, se retourna sans lui laisser le temps de reprendre. Il approcha alors fièrement son membre de la petite poitrine de l’ex-vierge, puis appuya son gland contre les lèvres curieuses d’Amélie, jusqu’à ce qu’elle avale timidement le phallus d’Alain.
Quelques coups de langues maladroit suffirent à lui faire lâcher la sauce et il contempla avec un plaisir non dissimulé sa semence sortir en partie de la bouche de la jeune femme qui ne savait comment réagir. Il se dit que pour une première fois, elle aurait de quoi raconter ! Amélie se retourna et laissa apercevoir son trou du cul, que l’assistant de droit n’avait pas encore pris la peine d’explorer. Il se dit que la prochaine fois, il la dépucellerait d’un autre endroit !
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