Une beurette qui ne laisse pas indifférent
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Encore un ami qui se mariait ! C’était décidément une épidémie généralisé. Et à chaque fête, je me retrouvais là, à me poser des questions existentielles, avec l’impression de vieillir, ou alors d’être plus jeune que mes potes. Bref, ce n’étaient pas toujours des moments très agréables psychologiquement. Mais bon, c’était l’occasion d’être invité à une grande fête, fête durant laquelle il y avait bien des possibilités de faire connaissance avec des jeunes célibataires.
Celui qui s’était fait prendre aujourd’hui, c’était David. Cet ami pompier ne semblait visiblement pas se rendre compte qu’il tombait dans le panneau, je dirais même dans un piège inextricable. En fait, il semblait heureux ! Il saluait tout le monde avec le sourire jusqu’aux oreilles. Quand vint mon tour, il va de soi que je souris aussi et le félicitait. Il faut dire que la mariée était vraiment charmante. C’était une Somalienne fine et au joli minois, tout aussi souriante que son pompier, aujourd’hui. Je me réjouissais de voir ses copines car il est rare qu’une jolie femme ne fréquente que des thons. Le cercle le plus proche de celles-ci arriva bientôt. J’avais l’impression de me retrouver en Afrique du Nord car la plupart étaient des beurettes, ce qui me convenait parfaitement. Les beaux cheveux noirs et les yeux foncés sont bien à mon goût. Il y avait également une Pakistanaise distinguée dont j’ai oublié le nom, la première qui me remballa pour des raisons philosophico-religieuses qui me dépassaient complètement.
Entre deux premières attaques maladroites, il valait peut-être la peine d’examiner attentivement l’environnement. Nous étions dans une grande maison de campagne avec un vaste terrain riche en plantes de grande taille. Malgré le nombre élevé d’invités, il y avait moyen de jouer à cache-cache entre adultes. Et avec un peu de chance et d’astuce, je parviendrais à ramener un charmante Marocaine, Tunisienne ou Algérienne dans un coin repéré au préalable. Ce travail fait, je retournai vers le groupe de copines en entamant l’apéro. Malgré l’intérêt que je portais à chacune de ces jeunes femmes, il me fallait avoir la délicatesse de ne pas leur poser de questions personnelles devant tout le monde. Ça viendrait éventuellement une fois que je discuterais avec certaines en privé.
L’une de ces jolies Arabes étaient la plus grande de la bande (sans que cela en fasse une géante pour autant). Elle avait de longs cheveux artificiellement ondulé et une jolie robe blanche mettant en avant ses bonnes formes. Je décidai qu’elle était Marocaine et je me faisais déjà mon film de porno maghrébin sans lui demander son avis. Il y avait à l’écart une vieille maisonnette en pierre servant désormais à ranger quelques outils. Qu’est-ce qui m’empêchait de l’y entraîner et de m’attaquer à ses formes rebeu, de glisser mes mains sous sa robe, que ce soit à la hauteur de ses seins ou de ses cuisses ‘ Je me voyais très bien la plaquer contre un mur avant de la délester peu à peu de ses vêtements, l’incitant à me faire une bonne pipe puis à lui planter mon dard là où vous pouvez l’imaginer. Avec ses lèvres pulpeuses, elle ne pouvait pas être maladroite dans l’art du sexe oral, ce serait vraiment trop bête !
Ce petit tour du Maroc étant fait, du moins en pensée, je me tournai vers sa voisine de droite que j’imaginais venir d’Algérie. Ses traits étaient moins agréables et ses formes moins exceptionnelle mais elle avait un de ces culs ! Fan de vidéo, je lui aurais bien demander d’agiter un peu son joli fessier devant ma caméra. Ce n’était peut-être que partie remise car nous allions sûrement danser le soir. Si cela se passait en extérieur, je planifiais d’entraîner cette beurette à l’étage de la résidence, où il y avait de nombreuses pièces vides. Je lui infligerais alors une sodomie à sec dont elle se souviendrait. Quant une jeune femme a comme plus belle partie du corps son fessier, c’est plus fort que moi, c’est à cette pratique que je pense en premier. Et avec sa jolie peau bronzée, je ne doutais pas que ce serait fort agréable, tout en m’évitant de trop regarder sa tronche
Ça m’arrangeait que celle dont je voyais surtout les omoplates pour le moment soit Tunisienne, ça me donnait l’impression d’avoir fait mon tour du Maghreb en pêchant la chaudasse. Elle, c’était vraiment la jolie petite beurette par excellente. Des jolis traits de type orientaux, mais une taille fine, contrairement à sa collègue du Maroc. Je me rendis compte que c’était la plus belle des trois et me déplaçais discrètement (du moins je l’espérais) dans le cercle pour mieux la voir. Tant pis si je m’étais déjà imaginé en train de baiser les autres beurettes avant, car il ne me semblait pas ridicule de terminer par la plus bandante. Peut-être tout du moins allais-je lui réserver un traitement plus délicat pour commencer, à savoir la faire monter dans une chambre bien équipée, l’embrasser et la caresser tel un gentleman avant de lui faire subir mes outrages. Tiens, j’avais même envie de lui faire un cunnilingus du mieux que je le pouvais, plutôt que de l’enculer à sec comme ses copines. Si elle était bien éduquée, elle me rendrait la pareille en me taillant une pipe avec une excitante délicatesse. Je mettrais du temps à éjaculer et elle s’occuperait bien de moi pendant la phase de récupération, ce qui me permettrait de l’honorer à merveille juste après, en variant les positions sans la moindre gêne. J’allais tellement prendre mon pied avec cette beurette que je ne serais plus jaloux du pompier avec sa Somalienne. Par contre, si elle me parlait mariage
-Oh, à quoi tu penses ‘ C’était justement la pseudo Tunisienne qui me tirait de mes pensées. Diable, il valait sans doute mieux ne pas lui répondre honnêtement ! J’étais par contre ravi qu’elle m’adresse la parole, contrairement aux deux autres jeunes Arabes qui se contentaient de glousser bêtement. Finalement, j’allais peut-être modifier l’ordre de baise que j’avais imaginé.
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