Excité par les gros seins de ma meilleure amie
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Victoria avait peut-être la plus grosse paire de seins naturels que j’avais vu de toute ma jeune existence. Lorsqu’on me l’avait présentée, j’avais dû faire des efforts monstrueux pour détacher mon regard des deux grosses loches qu’elle portait. Ce n’était pas uniquement une attirance sexuelle de premier ordre, non, c’était plus mécanique. C’était aussi de la curiosité. Cette Sicilienne de taille moyenne et aux longs cheveux clairs avait à peine vingt ans mais une poitrine de taille surdimensionnée. Même si je savais tout l’intérêt que peut représenter un tel outillage, mes premières sensations face à elle étaient un mélange d’intérêt et de répulsion. Il faut ajouter que la demoiselle était fort sympathique, à défaut de briller par son intelligence. Elle parvenait néanmoins à poursuivre des études de droit et c’est via des amis étudiants que j’eus par la suite l’occasion de la revoir, ce qui semblait systématiquement lui faire grand plaisir.
A l’époque de nos premières rencontres, j’avais une copine magnifique mais aux petits seins. Il ne me venait pas à l’esprit de donner à Victoria des occasions de m’approcher de près. Qu’est-ce que j’étais sérieux ! Et puis je devins célibataire et retrouvai une énième fois Victoria durant une soirée. Cette fois, j’étais seul, mais a priori notre Sicilienne aux gros seins n’était toujours pas mon grand fantasme, même si mes yeux se dirigeaient toujours de façon si peu discrète vers sa poitrine, malgré tous mes efforts. Nous étions dans la villa d’une copine et il y avait pas mal de monde. Problème, la plupart des filles étaient avec leur copain ou me paraissaient peu attrayante. Victoria me connaissait déjà et s’approcha de moi dès qu’une occasion se présenta. Poli, je me mis à discuter avec elle. Sa conversation n’avait pas le moindre intérêt, alors qu’elle semblait boire mes paroles pourtant fort banales. Elle me voulait, c’était certain. Il était bien dommage que ce ne soit pas réciproque mais que voulez-vous, il y a des fois où il vous semble que quelque chose bloque. Ce qui lui sauva la mise, vous l’aurez compris, c’est que j’avais pas mal picolé. Je sentais que l’alcool me montait à la tête. Et je voyais ces énormes seins en face de moi. J’essayais de penser à des choses sérieuses mais j’avais bien envie d’une branlette espagnole, soudain. J’imaginais ma queue confortablement installée entre ces deux jeunes mamelles, aller et venir, mon sexe se rapprochant au maximum du menton de cette dinde, jusqu’à ce que je perde le contrôle et lui éjacule violemment au visage.
Voici à quoi je pensais en discutant poliment avec la sympathique Victoria. Avec ce genre de pensées en tête, il était inévitable qu’une érection apparaisse. Dieu soit loué, je portais des pantalons dissimulant du mieux qu’ils pouvaient cette faiblesse dont j’avais honte, vu que je n’avais pas d’affinités avec cette jeune femme. Quant à elle, visiblement bien mieux éduquée que moi, elle continuait à me regarder bien dans les yeux et à bavarder au sujet de je ne sais quoi. J’essayais de reprendre mes esprits, puis de mauvaises pensées revenaient au grand galop. Je m’imaginais allongé sur le dos, en train de la mater à poil au-dessus de moi. Elle commençait par me faire une bonne pipe et à me branler. Comme je pouvais tout imaginer, il va de soi qu’elle suçait et faisait son handjob à merveille. Et puis il y avait ces énormes nichons qui pendaient. C’est parti, je me lançais de la main droite et les caressais. Qu’il était agréable de poser ses doigts sur ces gros machins. Il m’en fallait plus. Je lui faisais cesser sa séance de soin buccaux pour me poster derrière elle. Je l’empêchais fermement de se relever et la fourrais par derrière. Contrairement à ce qu’on pourrait penser à cause du volume de sa poitrine, elle avait un cul tout à fait acceptable et ferme, de sorte que j’avais grand plaisir à admirer ma manoeuvre. Et bien que je n’étais pas du tout fatigué dans cette brève hallucination, je me laissais vite lourdement tomber contre elle afin de caresser ses gros lolos sans la moindre délicatesse, tant que je le pouvais !
Je fus tiré de mon rêve éveillé par la petite voix agaçante de la maîtresse de maison qui voulait nous mettre à la porte. Prévoyant que j’allais bien boire, j’étais venu à pied et imaginais déjà le trajet du retour dans un soupir mal maîtrisé. Devinez alors qui proposa de me ramener en voiture ! Et oui, pas folle la guêpe. Mais cela m’arrangeait bien et après l’avoir bien baisée en rêve, je pouvais bien avoir l’amabilité de répondre favorablement à son invitation. J’étais de toute façon persuadé qu’il ne pouvait rien se passer de spécial. Elle allait me déposer devant chez moi, j’allais la remercier et me branler une fois couché. Ensuite, la vie continuerait, et je la reverrais plus frais, en ayant oublié mes délires d’obsédé.
Il s’en fallu de peu pour que tout se passe ainsi, mais une fois que nous fûmes arrivés devant chez moi, je mis du temps à réagir. La chaudasse au pare-chocs de luxe en profita pour glisser sa main jusqu’à mon point sensible. Prétendre que cela ne me faisait aucun effet aurait été complètement ridicule. Elle observa ma réaction et, voyant que je ne résistais pas, pénétra la main sous mon pantalon pour tester la souplesse de mon membre. Visiblement satisfaite, elle entreprit de l’extraire avant de se pencher la bouche grande ouverte. Etais-je un peu medium ‘ Cette pensée partit aussi vite qu’elle était venue. Il me fallait profiter du moment présent, profiter de cette paire de melons qui était toute à moi et du fait que mon taux d’alcoolémie m’empêchait désormais de penser qu’elle n’était pas spécialement mon type de femme. L’appel de la bite faisait – vous vous en doutez – aussi beaucoup pour m’encourager, et j’étais désormais ravi de penser que nous allions certainement passer sous peu sur la banquette arrière. J’allais vraiment l’avoir, ma branlette espagnole !
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